Le développement d'une gestion alternative des eaux pluviales, un atout pour la ville ?
Agence d'urbanisme et d'aménagement Toulouse aire métropolitaine

Le développement d’une gestion alternative des eaux pluviales, un atout pour la ville ?

Le développement d’une gestion alternative des eaux pluviales, un atout pour la ville ?

Cette question était au centre des échanges proposés par l’Observatoire Partenarial de l’Environnement, le 8 décembre 2016, à la Maison du projet de l’éco-quartier Vidailhan à Balma.
L’urbanisation rapide des 50 dernières années s’est traduite par une artificialisation progressive des zones urbaines, modifiant la surface par une imperméabilisation massive des sols. Cette artificialisationa des impacts sur l’hydrologie des zones urbaines, qui se manifestent par une augmentation du ruissellement urbain et une diminution de l’infiltration dans le sol, ainsi que par une pollution potentielle des milieux récepteurs par l’activité anthropique, en particulier celle liée au trafic automobile.
Pour mémoire, la surface artificialisée de l’aire urbaine toulousaine est passée de 995 km2 en 2006 à 1 070 km2 en 2012, soit une augmentation de 75 km2 en 6 ans (correspondant à 6944 terrains de football – source : Urban Atlas).
Le développement des techniques alternatives de gestion des eaux pluviales est une nécessité dans un contexte de croissance urbaine, d’artificialisation de sols, de croissance démographique et de changement climatique.
Face à ce défi, l’atelier a proposé un temps d’échanges en vue d’une connaissance partagée des pratiques engagées tant à l’échelle nationale que locale et d’éclairer les acteurs du territoire sur les outils à disposition et les partenariats les plus adaptés.

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