Dans l’aire urbaine en 2013, le volume des ventes dans le neuf se situe, selon
les sources, entre 4 000 logements (ObserveR) et 4 600 logements (ECLN).
Ces volumes sont comparables à ceux de l’aire urbaine de Lyon, notamment
grâce à une attractivité démographique et économique persistante malgré la crise.
Si le marché du logement neuf est porté par les investisseurs, celui de l’ancien reste le plus abordable pour les primo-accédants, malgré la question de la précarité énergétique sous-jacente.