La mobilité, conséquence de nos activités, est un miroir de nos modes de vie. Nos pratiques actuelles, mélange de mondialisation et d’hyper-sociabilisation métropolitaine, ont été un facteur déterminant dans la diffusion de l’épidémie. D’ailleurs, la notion d’épidémie est intrinsèquement liée à la notion de mobilité. Le terme est issu de la racine grecque “epidemos” – “epi”, qui circule, “demos”, dans le peuple. Seul, le virus est sédentaire. C’est la mise en contact des hommes et donc leur mobilité qui le transforme en pandémie.
Un “autre demain” en matière de mobilité n’est envisageable qu’en imaginant un nouveau modèle de développement … Lire la suite dans le document joint.